Oiseaux rares

Performance musicale et littéraire par Richard Gaitet et DJ Judah Roger

Jeudi 27 avril à 20 h

Entrée libre et gratuite
Buvette et food truck sur place à partir de 19 h

En partenariat avec

Performance musicale et littéraire par Richard Gaitet et DJ Judah Roger. Deux compères de Radio Nova se retrouvent à la Villa Valmont, sans prise de bec, pour un moment serein.
L’écrivain Richard Gaitet lit à voix haute une sélection de textes où un oiseau joue, à chaque fois, un rôle essentiel. Les lectures sont accompagnées, rythmées, voire bousculées par une sélection de musiques et de sons choisis par le DJ Judah Roger, qui multiplient les ambiances, nappes et samples de chants d’oiseaux, en piochant dans sa très très grande discothèque au gré des époques, du classique au reggae, en passant par le jazz, la chanson française ou le hip hop. On en piaffe d’impatience !

Richard Gaitet

Richard Gaitet est journaliste et écrivain. Pour Arte Radio, il  produit chaque mois le podcast Bookmakers – les écrivain·es au travail. Pour Radio Nova, il vient de produire La Danse du Zèbre, un documentaire en 40 épisodes d’une heure sur l’histoire folle et unique… de Radio Nova. Il est l’auteur de trois romans aux éditions Intervalles : Les Heures pâles (2013), Découvrez Mykonos hors saison (2014) et L’Aimant (2016, avec les dessins de Riff Reb’s). Il a ensuite publié deux récits documentaires aux éditions Paulsen : Tête en l’air (2018, sur son ascension du mont Blanc) et Rimbaud Warriors (2019, récit d’une traversée des Ardennes en bande, à pied, dans les bottines du poète).

Judah Roger

Judah Roger est tour-à-tour DJ pour Radio Nova (au sein des émissions Chambre noire et Néo-Géo), journaliste à plume (IHH Magazine, Reggae.fr) et impresario tout-terrain (pour Pierpoljak ou Daddy Mory de Raggasonic). Spécialiste des faunes sonores, ce drôle d’oiseau saura vous faire découvrir le meilleur des musiques du monde en vous invitant dans le sien, où c’est le printemps toute l’année. Quel que soit le style, bonne humeur et légèreté y virevoltent pour danser ou se relaxer, au gré de mélodies volatiles.

© Sébastien Carriau