When we were kings

Cinéma en plein air et dj-set de Dj Koyla

Jeudi 26 juin
à 20 h

4€

Sur inscription (jauge limitée)

En partenariat avec

Le Cinéma Utopia, l’Institut des Afriques, le Rocher de Palmer et la Villa Valmont vous proposent une séance de cinéma à la tombée de la nuit dans le parc de La Villa Valmont.

Rendez-vous le jeudi 26 juin à la Villa Valmont, Maison des écritures et des paysages, sur les hauteurs de Lormont, pour (re)découvrir le documentaire culte When we Were Kings en version restaurée !

Oscar du meilleur documentaire en 1997, le film revient sur le duel légendaire pour le titre de champion du monde entre Mohamed Ali et George Foreman en 1974, dans le Zaïre de Mobutu. Ce combat mythique s’accompagne d’un concert conviant des artistes comme Miriam Makeba, BB King ou encore James Brown… Un film qui capte les couleurs, les sons, l’atmosphère électrique d’une époque.

La soirée démarrera en musique dès 20 h avec un dj-set incandescent dont seule Dj Koyla a le secret !

Projection du film à la tombée de la nuit, à 21h45.

Bar et foodtruck sur place.

When we were kings

When we were kings de Leon Gast (USA, 1996, documentaire, 87 minutes) avec Mohammed Ali, George Foreman, Miriam Makeba, James Brown, Spike Lee, Norman Mailer…. Oscar 1997 du meilleur documentaire.

1974, Kinshasa. Mohammed Ali et George Foreman vont s’affronter pour le Combat du siècle dans le Zaïre de Mobutu. Retour sur un affrontement mythique où musique, combat et politique se mélangent de manière explosive.

Kinshasa. 30 octobre 1974. Championnat du monde des poids lourds. Mohamed Ali, tenant du titre vieillissant mais toujours flamboyant, figure emblématique du combat pour les droits civiques, est opposé à George Foreman, présenté comme l’avenir de la boxe. Ce combat de légende, organisé par le promoteur Don King, s’accompagne d’un concert réunissant une trentaine d’artistes africain·es et afro-américain·es.

Dj Koyla

Aïcha Koyla Hié aka Dj Koyla est une artiste franco-burkinabée de 22 ans. Dès sa plus tendre enfance, son père percussionniste lui enseigne les instruments de musique traditionnelle africains qu’il connaît, à savoir le balafon, le djembé, le doum, le bara puis la danse. Plus tard, elle prend la tangente de la musique électro et s’attaque au djing sans compromis en mixant les sons percussifs des djembés d’Afrique de l’Ouest.

Pour créer sa musique, Koyla s’inspire de ses racines et de ce que sa famille lui a transmis. Ses sets sont percutants, mêlant rythmique et mélodie.
L’Afrobeat, la House et la Techno sont ses trois piliers pour proposer des sets endiablés rempli d’énergies. A cela s’ajoute les sonorités percussives de son djembé. Elle honore ainsi une tradition ancestrale tout en faisant danser la foule, proposant une expérience sensorielle et transcendante qui fait voyager.

© LASCAR CAPAC